Limportance de lindustrie dans léconomie ivoirienne dissertation

Q: Quelle est limportance de lindustrie dans léconomie ivoirienne ?

Lindustrie nationale, y compris les Btp (Bâtiments et travaux publics), génère 5 415 milliards de Fcfa de valeur ajoutée, soit 25% du Produit intérieur brut (Pib) (4 436 milliards de Fcfa de valeur ajoutée, soit 20% du Pib (hors BTP)). Lindustrie manufacturière occupe la tête du classement.

Q: Quels sont les atouts de lindustrie ivoirienne ?

Dans le cadre de son industrialisation, la Côte dIvoire bénéficie de plusieurs atouts : ** Dabord des ressources naturelles sont abondantes et variées (produits agricoles, miniers, pétroliers, énergétiques, bois...). 70% des industries ivoiriennes utilisent les ressources naturelles comme matières premières.

Q: Quest

Agro-industrie:lagro-industrie ivoirienne, un tremplin vers lémergence. Lagriculture occupe une place importante dans léconomie ivoirienne mais reste faiblement industrialisée. Lobjectif du gouvernement est de créer de la valeur ajoutée à lhorizon 2020 afin que ce secteur contribue à hauteur de 40% du PIB.

Q: Quelles sont les problèmes de lindustrie en Côte dIvoire ?

Le manque de vision politique, linstabilité politique, la faiblesse de la taille du marché, les difficultés daccès au financement, et le faible niveau du capital humain sont également mis en évidence comme entraves majeures à lindustrialisation du continent.

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Le bois dans l'économie de la Côte d'Ivoire coloniale : 1880-1960
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Quelle est l'importance de l'industrie dans l'économie ivoirienne ?
Quels sont les atouts de l'industrie ivoirienne ?
Quelles sont les problèmes de l'industrie en Côte d'Ivoire ?

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Le bois dans l'économie de la Côte d'Ivoire coloniale : 1880-1960

ResponsibilityKassi Pascal Tano ; préface du professeur Simon-Pierre Ekanza.PublicationParis : L'Harmattan, [2016]Copyright noticecopyright 2016Physical description363 pages : illustrations, maps ; 24 cm

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Description

Creators/Contributors

Contents/Summary

BibliographyIncludes bibliographical references (pages 339-358).Contents

Les prémices de l'activité forestière en côte d'ivoire : 1880-1920
L'activité de coupe de bois avant la Première Guerre mondiale
Le contexte de la naissance de l'exploitation du bois en Côte d'Ivoire
L'existence d'un réseau commercial entre l'Afrique de l'Ouest et l'Europe
Les besoins de l'Europe en ressources ligneuses
Les débuts de l'activité forestière
Les pionniers de l'exploitation de bois
Les potentialités naturelles du sud-est pour la coupe du bois
Les contraintes des coupeurs de bois avant 1920
Les limites des facteurs de production du bois
L'inexistence de voies modernes de communication
L'insuffisance d'outils mécaniques
Des méthodes approximatives d'exploitation
La phase de reconnaissance du terrain
L'exploitation proprement dite
L'évacuation des billes
Innovations et crise dans le secteur forestier avant 1920
Les innovations d'avant-Première Guerre mondiale
Les réformes réglementaires
Les motifs de la réglementation forestière d'avant-guerre
La réglementation forestière d'avant-Première Guerre mondiale
La création du service forestier et ses difficultés fonctionnelles durant la guerre
La création d'infrastructures économiques
L'extension du champ d'exploitation du bois liée à la création du chemin de fer
Des débouchés maritimes créés par les wharfs
La consolidation de la production de grumes
Les difficultés du secteur forestier durant la Première Guerre mondiale (1914-1918)
Les contraintes du trafic de bois durant la guerre
Le recrutement militaire : obstacle à la disponibilité de la main-d'oeuvre
La chute de la production de bois
Conclusion partielle
L'activité forestière dans l'entre-deux-guerres mondiales :1920-1939
La crise de la main-d'oeuvre des années 20 et les remèdes de l'admininistration
Les causes et les effets de la crise dans le secteur forestier
Les principales causes de la crise
Les conditions difficiles de travail sur les chantiers
Le non-respect des termes du contrat d'engagement
Les pénibles conditions de travail des manoeuvres sur les chantiers
Le sous-peuplement de la colonie et la diversité des sources utilisatrices de main-d'oeuvre
La Basse Côte d'Ivoire : zone forestière riche et sous-peuplée
La dispersion de la main-d'oeuvre dans plusieurs secteurs d'activités
Les effets de la crise dans le secteur forestier
Les efforts de l'administration pour juguler la crise
Création des structures de recrutement de la main-d'oeuvre
L'Office du travail
L'Office central du travail
Renforcement du recours à la main-d'oeuvre voltaïque et du travail forcé au début des années 30
L'évolution des conditions de recrutement des travailleurs
Le renforcement du recours à la main-d'oeuvre voltaïque
Le maintien et le renforcement du travail forcé
La modernisation des moyens de communication et la relance du secteur forestier
La création de nouvelles infrastructurés de communication
La construction de nouveaux wharfs plus performants
La voie ferrée : meilleur moyen d'accès aux ressources ligneuses
La relance de l'activité forestière après la guerre

Les bases du redémarrage du secteur forestier
L'environnement international favorable
La fin des hostilités et la normalisation du trafic maritime
La forte demande de l'Europe en ressources ligneuses.
Les conditions internes de la relance
L'éviction des coupeurs de bois par de puissants exploitants européens
L'extension du champ d'exploitation forestière
L'évolution de la production de grumes
Le commerce des bois coloniaux
L'évolution des méthodes commerciales dans la colonie
L'évolution du marché des bois coloniaux
Un marché de plus en plus diversifié
Une bonne conjoncture internationale
Les actions de vulgarisation des essences exploitables
Les initiatives pour une meilleure connaissance des essences ivoiriennes
La nécessité d'élargir l'assiette des essences exploitables
Les missions d'études du Gouverneur Salesses et de l'Inspecteur Bertin
L'identification des essences de la forêt initiée par le service forestier
La politique de vulgarisation des essences tropicales en métropole
Les études de correspondance entre les bois coloniaux et métropolitains
Les congrès de bois coloniaux de Marseille et de Bordeaux
Des initiatives pour sauvegarder les essences
La réactivation du service forestier
La création des stations de sylviculture pour l'étude des essences
La politique de repeuplement des étendues forestières déboisées
Le début de la création des réserves forestières
Les limites du service forestier
Début de mécanisation et d'industrialisation de la filière forestière
Le début de la mécanisation de l'exploitation forestière
Les facteurs de la mécanisation de la production
L'éloignement des chantiers forestiers des cours d'eau
Les difficultés de recrutement d'une main-d'oeuvre abondante
L'installation de grandes sociétés d'exploitation forestière
Un niveau de mécanisation assez faible
Le début de l'introduction des machines dans la production de bois
Les types de matériels mécaniques en usage et leur impact sur le secteur forestier
La naissance de l'industrie de bois
L'essor des industries de sciage dans l'entre-deux-guerres
L'implantation des premières scieries en Côte d'Ivoire
La localisation et la capacité de production de ces scieries
L'essaimage des industries de bois dans les foyers de production
La classification des industries selon leur capacité de production
Les industries secondaires nées de l'activité de sciage
La menuiserie
La charpenterie et les maisons préfabriquées en bois
Les effets de la crise économique de 1929 dans le secteur forestier
L'impact de la crise économique sur la filière bois
L'effondrement du marché international à partir de 1930
Les difficultés d'écoulement des bois coloniaux
La chute des prix du bois sur le marché international
L'impact de la crise sur la production locale
Les difficultés de vente des billes faute d'acheteur
Le ralentissement de l'activité forestière
Diminution des chantiers d'exploitation de bois
La chute de la production de grumes
La relance de l'activité forestière avant la Seconde Guerre mondiale
Les signes de la reprise

Le rétablissement du marché international de bois coloniaux
La relance de la production de grumes
La concurrence entre les secteurs agricole et forestier
Le boom de l'économie de plantation dans l'entre-deux-guerres
Le développement de deux secteurs concurrentiels
La nécessité d'une nouvelle réglementation forestière
Le décret de 1935: Les motivations du nouveau code forestier
Les innovations majeures de cette nouvelle réglementation
Conclusion partielle
Les difficultés du secteur forestier durant la seconde guerre mondiale et son essor après la crise
L'impact de la guerre sur la filière bois en Côte d'Ivoire
L'effondrement du marché européen de bois
Les obstacles du transport maritime liés à l'insécurité sur les mers
Le bois, un produit stratégique convoité par les États belligérants
La dégradation du système de production locale
La pénurie de main-d'oeuvre créée par la mobilisation sous les drapeaux
L'abandon des chantiers d'exploitation du bois
La chute significative de la production de bois
Les bases de la reprise de l'activité forestière à la fin de la guerre
La normalisation de la situation internationale
L'assainissement de l'environnement international
La fin des hostilités et le rétablissement du trafic maritime
Le rétablissement du marché international
La forte demande de l'Europe en produits ligneux
Les besoins accrus de l'Europe en matières ligneuses
Les types de bois coloniaux exportés
L'essor et les mutations du secteur forestier après la guerre
La persistance de la crise de main-d'oeuvre et le renforcement de l'outillage mécanique
Libéralisation et incertitudes du marché de la main-d'oeuvre après la guerre
La généralisation de l'outil mécanique sur les chantiers
Le renforcement des infrastructures économiques
Les progrès réalisés dans le domaine routier
L'ouverture du port d'Abidjan et ses influences sur l'activité forestière
L'intensification de la production et de l'industrialisation du secteur forestier
Une production plus accrue
L'extension du champ d'exploitation du bois vers l'ouest et l'est
L'augmentation du volume de production de grumes
Intensification du processus d'industrialisation du secteur
La consolidation de l'industrie de sciage
Installation des industries de déroulage, de tranchage et de contreplacage
Les industries annexes de transformation des produits de déroulage
L'industrie de papier et ses activités annexes
Les conséquences de la surexploitation des ressources ligneuses de la colonie
Le pillage des ressources forestières de la colonie et ses effets néfastes
Un secteur générateur de revenus.

Publisher's Summary "L'exploitation commerciale du bois en Côte d'Ivoire commence dans le dernier quart du XIXe siècle. Depuis cette époque, elle a enregistré une constante progression en dépit des moments de crise. Activité purement traditionnelle au départ, elle s'est modernisée progressivement sous l'effet conjugué des mutations endogènes et exogènes. Jusqu'à la fin de la Première Guerre mondiale, elle était centrée sur l'acajou, seule essence recherchée, et la force humaine, unique facteur de production. Dans l'entre-deux-guerres, on assiste à l'élargissement de l'assiette des essences exploitées, à la mécanisation de la production et un début d'industrialisation de la filière. À la fin de l'ère coloniale, la filière bois se présentait comme l'un des secteurs économiques les plus dynamiques du pays, mais avec des risques d'épuisement des ressources ligneuses."--Page 4 of cover.

Subjects

Bibliographic information

Publication date2016ISBN9782343076843 (pbk.) :2343076847 (pbk.)

Quelle est l'importance de l'industrie dans l'économie ivoirienne ?

L'industrie nationale, y compris les Btp (Bâtiments et travaux publics), génère 5 415 milliards de Fcfa de valeur ajoutée, soit 25% du Produit intérieur brut (Pib) (4 436 milliards de Fcfa de valeur ajoutée, soit 20% du Pib (hors BTP)). L'industrie manufacturière occupe la tête du classement.

Quels sont les atouts de l'industrie ivoirienne ?

Dans le cadre de son industrialisation, la Côte d'Ivoire bénéficie de plusieurs atouts : ** D'abord des ressources naturelles sont abondantes et variées (produits agricoles, miniers, pétroliers, énergétiques, bois...). 70% des industries ivoiriennes utilisent les ressources naturelles comme matières premières.

Qu'est

Agro-industrie:l'agro-industrie ivoirienne, un tremplin vers l'émergence. L'agriculture occupe une place importante dans l'économie ivoirienne mais reste faiblement industrialisée. L'objectif du gouvernement est de créer de la valeur ajoutée à l'horizon 2020 afin que ce secteur contribue à hauteur de 40% du PIB.

Quelles sont les problèmes de l'industrie en Côte d'Ivoire ?

Le manque de vision politique, l'instabilité politique, la faiblesse de la taille du marché, les difficultés d'accès au financement, et le faible niveau du capital humain sont également mis en évidence comme entraves majeures à l'industrialisation du continent.