Oussama Slimani 0% found this document useful (0 votes) 58 views 4 pages tutorial-07-sol © © All Rights Reserved Did you find this document useful?Is this content inappropriate?Report this Document 0% found this document useful (0 votes) 58 views4 pages Tutorial 07 SolOriginal Title:tutorial-07-sol Uploaded byOussama Slimani Full description Jump to Page You are on page 1of 4 Search inside document You're Reading a Free Preview
Buy the Full Version Reward Your CuriosityEverything you want to read. Anytime. Anywhere. Any device. No Commitment. Cancel anytime. Ahmad Whabi 100% found this document useful (2 votes) 556 views 5 pages ©
© All Rights Reserved Did you find this document useful?Is this content inappropriate?Report this Document 100% found this document useful (2 votes) 556 views5 pages Correction TD 1 Reseaux InformatiquesUploaded byAhmad Whabi Full description Jump to Page You are on page 1of 5 Search inside document You're Reading a Free Preview
Buy the Full Version Reward Your CuriosityEverything you want to read. Anytime. Anywhere. Any device. No Commitment. Cancel anytime. Le modèle OSI La normalisation des communications des réseaux hétérogènes L’activité d’un réseau La préparation des données L’architecture en 7 couches du modèle OSI La couche APPLICATION La couche PRESENTATION La couche SESSION La couche TRANSPORT La couche RESEAU La couche LIAISON La couche PHYSIQUE Le modèle IEEE 802 Les douze catégories du modèle IEEE 802 Les sous-couches LLC et MAC du modèle IEEE 802 La segmentation des données en paquets La structure d’un paquet L’adressage d’un paquet Le routage d’un paquet Les types de trame avec le protocole IPX La normalisation des communications des réseaux hétérogènesLe modèle OSI (Open Systems Interconnection) d’interconnexion des systèmes ouverts décrit un ensemble de spécifications pour une architecture réseau permettant la connexion d’équipements hétérogènes. Le modèle OSI normalise la manière dont les matériels et les logiciels coopèrent pour assurer la communication réseau. Le modèle OSI est organisé en 7 couches successives. Le modèle OSI a été publié en 1978 par un organisme de normalisation, l’ISO (International Standard Organization). En 1984, l’ISO publia une mise à jour du modèle OSI qui dès lors devint une norme internationale. Le modèle IEEE 802 ( de février 1980) est une version améliorée du modèle OSI. Le modèle OSI est le modèle le plus connu et le plus utilisé pour décrire et expliquer un environnement réseau. Les fabricants d’équipements réseaux suivent les spécifications du modèle OSI, mais aucun protocole ne s’y conforme à la lettre. L’activité d’un réseau L’activité d’un réseau consiste à envoyer et à recevoir des données d’un ordinateur vers un autre. « L’ordinateur émetteur » prépare les données (qui seront transmises sur le support de communication du réseau) afin que celles-ci s’acheminent correctement vers « l’ordinateur récepteur ». L’activité d’un réseau ressemble à l’activité de la belle Cendrillon. Cendrillon suit des règles très précises de séduction auxquelles elle ne déroge jamais. Cendrillon s’habille d’abord, puis la princesse monte dans son carrosse, pour aller danser au bal (la valse, la polka ou le rock & roll), enfin Cendrillon se déshabille (nous resterons discret sur ces activités nocturnes avec son prince charmant…). Effectivement, Cendrillon se comporte de la même façon que les données qui sont transmises sur un réseau (et nous resterons tout aussi discret sur les intentions des utilisateurs qui les réceptionnent…). Dans un premier temps, les données sont revêtues des habits adéquats par « l’ordinateur émetteur », dans un deuxième temps, les trames défilent et dansent sur le support de communication (un câble par exemple), dans un troisième temps, les données sont déshabillées par « l’ordinateur récepteur ».
Le modèle OSI est constitué de 7 couches successives. Chacune de ces 7 couches est spécialisée dans une tâche bien précise. Les données de « l’ordinateur émetteur » traversent chacune des ces 7 couches (de haut en bas) avant d’être transmises (sous la forme de trames) au support de communication, puis, arrivées à destination, les trames traversent chacune des ces 7 couches (de bas en haut) avant d’être communiquées à « l’ordinateur récepteur ».
Chaque couche est spécialisée dans une tâche bien précise. On dit que chaque couche propose une fonctionnalité ou un « service ». A chaque niveau, un traitement est réalisé, et des informations sont codées ou décodées (ajoutées ou en levées du paquet). Chaque couche de « l’ordinateur émetteur » ajoute des informations supplémentaires dans le paquet qui lui a été transmis par la couche supérieure, et transmet celui-ci à la couche inférieure (ou au support). Les informations de chaque couche sont destinées à « la couche homologue » de « l’ordinateur récepteur ». Les couches de « l’ordinateur récepteur » décodent et enlèvent une partie des informations contenues dans le paquet qui lui a été transmis par la couche inférieure (ou par le support), et transmet celui-ci à la couche supérieure. L’activité de chaque couche est codifiée selon un certain protocole. La fonctionnalité d’une couche peut être réalisée par un logiciel, un équipement et un protocole différents de ceux des autres couches. Chaque couche prépare les données pour la couche suivante. On dit que les couches « communiquent » entre elles, et la frontière qui les sépare est appelée une « interface ». Les couches 7 à 3 sont appelées les couches hautes et leur travail est plus complexe que celui des couches basses. Les couches 1 & 2 sont appelées les couches basses, leur fonction est d’envoyer des flux de bits sur le réseau. Les « couches homologues » sont les deux couches d’un même niveau, l’une située dans « l’ordinateur émetteur » et l’autre dans « l’ordinateur récepteur ». Les « couches homologues » ont la même fonction, l’une fait ce que l’autre défait. L’activité de chacune des couches est codifiée selon un protocole très précis, de façon que chacune des couches sache exactement comment travail son homologue (les couches ont besoin de savoir exactement comment ont été transformé les données afin de pouvoir les restituer à l’identique). Les données provenant de « l’ordinateur émetteur » sont découpées en « paquets ». Les paquets passent de couches en couches. A chaque couche, des informations de formatage et d’adressage sont ajoutées au paquet. Les paquets sont transformés en trames, et ce sont les trames qui circulent sur le réseau. Arrivées à destination les trames sont transformées en paquets par les couches de « l’ordinateur récepteur ». Les informations de formatage et d’adressage sont vérifiées puis supprimées à chaque niveau, de telle sorte que les données émises soient exactement les données reçues.EMETTEURIl n’y a que la couche la plus basse qui puisse « communiquer » directement avec son homologue sans que « le message » ne transite par toutes les autres couches. Toutes les autres couches ne « communiquent » pas avec leur homologue, les informations qu’elles ajoutent à chaque paquet sont transmises à la couche suivante et ainsi de suite. S’il peut paraître qu’il y ait une forme de « communication virtuelle » entre chaque couche et son homologue, c’est seulement parce que chaque couche a été définie de la même façon que son homologue (fondue dans le même moule, comme les clones sont issus des même gênes) et que chacune effectue le travail symétrique de l’autre. La couche APPLICATIONLa couche APPLICATION (APPLICATION LAYER) joue le rôle d’une interface d’accès des applications au réseau. La couche APPLICATION concerne les applications réseaux qui tournent sur un poste (TELNET, FTP,…), et correspond à l’interface de l’utilisateur. Les fonctions de la couche APPLICATION :
Les fonctions de la couche PRESENTATION :
La couche SESSION (SESSION LAYER) gère la connexion entre deux ordinateurs du réseau. Les fonctions de la couche SESSION :
La couche TRANSPORT (TRANSPORT LAYER) s’assure que les paquets ont été reçus dans l’ordre, sans erreurs, sans pertes, ni duplication. La couche TRANSPORT gère l’empaquetage et le réassemblage des paquets ainsi que le contrôle et la correction des erreurs. Les fonctions de la couche TRANSPORT :
La couche RESEAU (NETWORK LAYER) se charge de l’adressage des messages. La couche RESEAU fourni un schéma d’adressage. La coucher RESEAU traduit les adresses logiques (les adresses IP) en adresses physiques (les adresses MAC des cartes réseaux). Les fonctions de la couche RESEAU :
Les fonctions de la couche PHYSIQUE :
Les sous-couches LLC et MAC du modèle IEEE 802Les deux couches basses du modèle OSI (LIAISON et PHYSIQUE) définissent la façon dont plusieurs ordinateurs peuvent utiliser simultanément le réseau sans interférer les uns avec les autres. Le comité de normalisation 802 a voulu définir plus en détail ces deux couches. La couche LIAISON a été divisée en deux sous couches :
La segmentation des données en paquetsUn réseau ne fonctionne pas de manière optimal si les fichiers qui sont transmis sur le réseau ne sont pas segmentés. La « taille des chaînes de données d’origine » est souvent importante et peut pénaliser le réseau :
Paquet = En-tête + Données + QueueCertaines de ces informations sont ajoutées systématiquement à tous les paquets, tandis que d’autres ne sont ajoutées que s’il est nécessaire de le faire : Les informations ajoutées systématiquement à chaque paquet :
Le routage d’un paquetDans un contexte de « réseau étendus »,c’est à dire dépassant le cadre d’un LAN (Local Area Network), les dispositifs de connexion et les équipements de commutation du réseau utilisent les informations d’adressage des paquets afin de déterminer la route la plus appropriée. L’adresse cible d’un paquet et d’une manière plus générale les informations d’en-tête d’un paquet peuvent être utilisées, soit pour rediriger le paquet, soit pour le filtrer. Les types de trame avec le protocole IPX La plupart des protocoles déterminent eux même quel est le type de paquet à utiliser. Il est quand même important de bien vérifier si toutes les stations du réseau communiquent avec le même protocole, c’est un minimum... Il peut toutefois survenir des problèmes de trames, particulièrement avec le protocole IPX. Le protocole IPX de la pile SPX/IPX de NOVELL, comme la couche TRANSPORT du protocole NWLink de MICROSOFT, ne sont pas associés à un seul type de trames. Le protocole IPX peut employer plusieurs types de trames différentes :
Quelles couches sont concernées par l'encapsulation de données ?Lors d'une encapsulation, la couche la plus abstraite est appelée 'couche protocole de plus haut niveau' (Upper Layer Protocol - ULP) alors que la couche la plus spécifique est appelée 'couche protocole de plus bas niveau' (Lower Layer Protocol - LLP).
Quelle couche OSI envoie des segments à encapsuler dans un paquet ipv4 ou ipv6 * ?Lors d'une encapsulation, la couche la plus abstraite est appelée « couche protocole de plus haut niveau » (Upper Layer Protocol - ULP) alors que la couche la plus spécifique est appelée « couche protocole de plus bas niveau » (Lower Layer Protocol - LLP).
Quelles sont les principales fonctions de l'encapsulation ?L'encapsulation permet de définir des niveaux de visibilité des éléments de la classe. Ces niveaux de visibilité définissent les droits d'accès aux données selon que l'on y accède par une méthode de la classe elle-même, d'une classe héritière, ou bien d'une classe quelconque.
Quelle couche du modèle OSI une adresse logique EstDans quelle couche du modèle OSI une adresse logique est-elle ajoutée pendant l'encapsulation ? Explication: Les adresses logiques, également appelées adresses IP, sont ajoutées au niveau de la couche réseau. Les adresses physiques sont ajoutées au niveau de la couche de liaison de données.
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